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Solidarité avec Alfon et celles/ceux qui luttent!

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Alfon est un militant de 21 ans de Vallecas (Madrid) qui a été arrêté dans la matinée du 14 Novembre lors de la grève générale. Avec lui, Daira a également été arrêté, même si elle a été libérée quelques heures plus tard après sa comparution devant le tribunal. Alfon a été transféré à la prison de Soto del Real, où il a été détenu depuis sous le régime FIES, ce qui signifie qu’il est constamment sous haute-surveillance et mesures d’intimidation. Voici une déclaration faite par le groupe de soutien.

Lors de la journée de grève générale du 14 Novembre, notre camarade Alfon a été arrêté dans le quartier de Vallecas. Après plusieurs jours d’isolement et d’interrogatoires dans les cachots de l’État espagnol, il a été envoyé en prison en détention préventive, en raison de la hausse des ordres donnés par la magistrature et la délégation du gouvernement, à laquelle il faut ajouter la pression des mass medias.

Tout ce réseau a pour but d’intimider les militants et le peuple en général, car ils savent que la situation politique, sociale et économique dégénérera et que vous souhaitez mettre fin à la lutte en utilisant la dictature de la peur.

Nous ne pouvons pas tomber dans le piège de juger notre camarade, nous ne nous soucions aucunement de savoir s’il est coupable ou innocent des accusations portées contre lui, il est un prisonnier politique, dont le seul crime est de lutter contre ce système capitaliste qui, jour après jour, réduisent les familles à la plus sauvage exploitation.

La seule violence condamnable est celle employée par l’État, les banques et ses forces répressives qui frappent et emprisonnent des personnes lors des manifestations, qui gardent et protègent les huissiers lorsqu’ils exécutent des expulsions de domicile, qui emprisonnent à vie et torturent les révolutionnaires…
En bref, par tous les moyens possibles, ils tenteront de détruire toute initiative de résistance populaire.

Contre l’Etat et sa violence, maintenant et pour toujours, RÉSISTANCE!

Liberté pour les prisonniers politiques!

Groupe de soutien à « Alfon »

alfonlibertad.blogspot.com

alfonlibertad.wordpress.com

bukaneros.org

 

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Alfon Libertad!

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La Circulaire n°6

La Circulaire no6

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Les cartes de voeux du Rage

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Joyeux bordel et bonne année!

Et pour ceux et celles qui n’ont pas été sages cette année, Papa Noël vous balance des pavés!

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Piero San Giorgio à propos du « black bloc »

Piero Falotti, aka Piero San Giorgio, nous offre une preuve supplémentaire de sa vivacité d’esprit et de son intelligence supérieure en révélant la vérité sur les jeunes émeutiers qui s’habillent en noir dans les manifs:

« Mes contacts dans les états majors d’armées européennes me disent que selon eux, certains de ces « jeunes » sont pilotés (nourris, logés, transportés d’une ville à l’autre par avion, etc.) par certains services secrets de certains pays (Allemagne, UK, etc.) pour servir des « intérêts supérieurs »… effectivement à creuser. »

T’as tout compris Piero! Mais t’as oublié de préciser que quand on sort de garde-à-vue, on a des limousines qui nous attendent!

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Besançon: rassemblement antifasciste ce samedi 15 déc. contre les JN

 

Collectif Antifasciste Besançon

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Piero San Giorgio le survivaliste ami des néo-fascistes veut présenter son livre à Genève

Le Réseau Antifasciste Genève appelle à saboter la présentation du nouveau livre de Piero San Giorgio prévue le samedi 22 décembre au magasin « Pointbreak » 44 rue de Lausanne.

Evénement annoncé, notamment dans les colonnes des groupes d’extrême-droite Egalité et Réconciliation et Genève Non-Conforme

Piero SanGiorgio, de son vrai nom Piero Falotti, est un survivaliste proche de l’extrême-droite suisse et française. Homme d’affaires millionaire, il écrit des livres qu’il signe de son pseudo. Ses deux livres ont été édités par la maison d’édition rouge-brune « Le retour aux sources ». C’est d’ailleurs assez marrant pour quelqu’un qui s’est enrichi grâce aux milieux financiers.

Le 26 avril 2012, Piero San Giorgio organisait une conférence à Paris au « Local », bar du néo-fasciste Serge Ayoub, leader de l’organisation Troisième-Voie et des Jeunesses Nationalistes-Revolutionnaires et ancien chef du Nazi-Klan dans les années 80. Le 14 Juin 2012, Piero San Giorgio organisait une conférence à Grenoble au magasin « Terre Celitque », repaire des nazillons locaux qui avaient agressé les anti-CPE en 2006.

Le propriétaire de « Terre Celtique » (situé 40, cours Berriat à Grenoble) est un dénommé Christian Mollier, ancien du Mouvement National Républicain (MNR, dissidents du FN) qui s’est illustré publiquement à deux reprises. La première lors de l’attaque d’une conférence de l’association Amitiés et Liens France-Maghreb (ALIF) sur l’immigration qui lui vaudra son exclusion du MNR et une peine de 10 mois de prison avec sursis et 5 ans de privation de droits civiques. Le président d’ALIF avait ensuite reçu des menaces, et sa femme avait été agressée et torturée (il parait évident que Mollier n’est pas étranger à cette agression). « Terre Celtique » vend ses produits sur le catalogue fasciste « Durandal » de DEFI (Diffusion des Éditeurs Français Indépendants). En plus des drapeaux à croix celtiques, t-shirts ornés de totenkopf (logo des SS), revues d’extrême-droite et autres saloperies vendues au magasin, « Terre Celtique » dispose d’une arrière-salle ou sont vendus tout un tas de choses un peu moins légales (propagande et matériel néo-fasciste/nazi, armes etc…). La quincaillerie « Au deux cours » (située 42 cours Berriat à Grenoble) est également la propriété de Christian Mollier.

A Genève, le 22 décembre, Piero San Giorgio est invité à « Pointbreak », un magasin de matériel militaire, de survie et de sécurité qui a comme clientèle des flics, des agents de sécurité, des randonneurs, des mercenaires et des fascistes. Le magasin est tenu par deux personnes, dont une à un passé proche de la mouvance fasciste genevoise, Enzo Battablieri. Ce dernier avait, dans les années 90, un autre magasin sur Plainpalais, appelé « Excalibur » qu’il partageait avec le fasciste Pascal Junod (actuellement membre du MCG). On pouvait y trouver toutes sortes de « choses » comme à « Terre Celtique ». Le magasin s’étant fait attaquer à plusieures reprises par les antifascistes, ils finirent par le fermer. Depuis, Battablieri à ouvert Pointbreak.

Nous appellons à boycotter et à faire pression sur ce commerce par tous les moyens nécessaires pour annuler et saboter cet événement! Et plus largement, à maintenir cette pression pour que disparaissent définitivement de nos vies et de nos villes les fascistes et leurs émanations commerciales.

Pointbreak Genève
44, rue de Lausanne
1201 Genève
Suisse
Téléphone : +41 22 738 12 01

Mail: info@e-poinbreak.com

enzo@PBSSA.ch

Nos copains, copines et tous les camarades de Lausanne peuvent aussi nous aider à saboter cet événement car il y a aussi un  magasin Pointbreak dans cette ville.

Pointbreak Lausanne
4 rue ruchonnet
1003 lausanne
Téléphone : +41 21 320 11 35

Dossiers Fafwatch sur Piero San Giorgio:

Dossier 1  Dossier 2

En tant qu’antifascistes radicaux, nous sommes contre toute forme de censure d’Etat. Nous refusons de déléguer nos luttes  aux autorités, car d’un point de vue de stratégie révolutionnaire ce serait collaborer avec l’Etat, qui lui aussi est notre ennemi. Il serait donc stupide de lui demander d’interdire ou de censurer les fascistes, alors que l’expérience historique montre qu’une loi votée contre les fascistes servira immanquablement demain contre les révolutionnaires. Comme pour la venue du raciste Kemi Seba, nous comptons sur l’action autonome, spontanée et décentralisée des individus et groupes pour saboter cet événement.

Fachos, flics, agents de sécurité, bourgeois: tous main dans la main!

Pas de fascistes dans nos quartiers! Pas de quartier pour les fascistes!

A touEs les PaquisardEs et les LausannoisEs : Alerta Antifascista!

P.S.
Piero, ton message de soutien à la ZAD nous a fait beaucoup rigoler. Donne-nous un coup de fil si jamais tu viens sur place, on saura t’accueillir. Et on ne voit pas ce qu’un gros con de millionaire comme toi peut nous apprendre sur la survie en milieu urbain!

 

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Genève: tags en solidarité avec la ZAD

 

 

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Grèce : la révolte de décembre 2008

Le 6 décembre 2008, la police assassine un jeune de 16 ans, un mois d’émeutes et d’occupations suivront…

Athènes : Vers 21h00, deux flics patrouillant en voiture dans Exarchia, centre d’Athènes, ont eut des échanges verbaux avec quelques jeunes rue Messollogiou. On rapporte qu’une bouteille ou des pierres auraient été lancés sur la voiture. Celle-ci est alors repartie avant de s’arrêter, et les deux flics se seraient dirigés à pied vers les jeunes. Epaminondas Korkoneas, 37 ans, originaire de Kalamata, père de 3 enfants, s’est approché des jeunes en désignant ses organes génitaux et, en gueulant « qu’il allait les baiser maintenant », il tira ensuite trois fois dans leur direction, à moins de 20 mètres. L’un des jeunes, un anarchiste de 15 ans Alexandros-Andreas (Alexis) Grigoropoulos, tomba mort, une balle dans le cœur. Des passants appelèrent une ambulance pour l’emmener à l’Hôpital Evaggelismos, où l’on ne fit que constater son décès. Juste après le meurtre, Korkoneas et son collègue, Vassilis Saraliotis, 31 ans, retournèrent à la voiture et quittèrent le quartier. Lorsqu’il fut interrogé par d’autres flics à propos de la fusillade, Korkoneas, décrit comme le « rambo » local, poussant ses supérieurs à des interventions plus musclées, répondit qu’il en avait assez de subir des intimidations à Exarchia, un quartier avec de fortes solidarités, des initiatives des habitants, et une activité politique, où il y a souvent des heurts dans les rues avec les MAT (police anti-émeute) qui ceinturent cette zone. Les mass médias parlent d’un groupe d’une cinquantaine d’ »anarchistes cagoulés » attaquant une voiture de police avec des cocktails Molotov, et d’un flic « faisant les sommations d’usage, qui menèrent à une blessure fatale. »

La nouvelle du meurtre se répand immédiatement par le bouche à oreille et via internet, et des anarchistes et des habitants du quartier se rassemblent rue Mesologgiou. Des heurts se produisent rapidement après ces rassemblements avec les MAT et des flics en civil, et des barricades sont rapidement dressées à l’aide de poubelles en feu aux alentours du square d’Exarchia et des routes environnantes. Des dizaines de personnes attaquent les MAT avec des pierres et les repoussent hors d’Exarchia. Les MAT attaqués reviennent avec des lacrymogènes, les gens se déploient dans Exarchia et affrontent la police, qui a ceinturé le quartier et attaqué les anarchistes qui y arrivaient. Ceux-ci se sont débrouillés pour repousser la police, prendre l’école polytechnique et garder les routes frontales ouvertes aux gens. Des heurts avec les flics (MAT et flics en civil) avenue Patission et rue Stournari se produisent. Deux banques en feu avenue Patission. Après minuit, des centaines de gens arrivent pour l’occupation de l’école polytechnique, tandis que des heurts mineurs avec la police ont lieu à l’extérieur. Des heurts ont également lieu aux alentours de l’école de Droit, également occupée par ses étudiants. Les MAT attaquent les gauchistes qui défilent à Exarchia. Assemblée ouverte à l’école Polytechnique. Pendant ce temps les MAT ont ceinturé l’Hopital Evaggelismos et les flics ont essayé d’y rentrer mais ont été repoussés par des amis et compagnons d’Alexis.

Pendant la nuit à Athènes, les affrontements se déplacent vers l’avenue Ermou, quartier huppé, où plus de 70 magasins de luxe, une banque et 2 bâtiments sont soit détruits, soit complètement incendiés avec l’aide de nombreuses personnes des cafés avoisinants qui ont entendu la nouvelle. Des pillages ont lieu. Une galerie marchande de 7 étages en feu. De nombreuses voitures servent de barricades. Une autre banque en feu, avenue Piraeus. Des blocages de rue et des heurts ont lieu autour de l’université Pantios. Il y a un épais brouillard au centre ville à cause des gaz lacrymogènes. La police est repoussée de nombreuses zones du centre ville et passe à la défense. Des passants empêchent la police d’attaquer les manifestants et certains rejoignent même la foule. Des centaines d’affrontements avec la police autour d’Exarchia. Un groupe attaque le commissariat de Leoharous avec des cocktails Molotov, et de nombreux passants qui ont entendu la nouvelle s’opposent à la police rue Stadiou où une banque Agrotiki est incendiée. Les flics s’enfuient. La nouvelle se transmet par le bouche à oreille de Monastiraki à Psirri, où les gens se rassemblent, et où la police envoie les MAT. Une banque Geniki est incendiée. Des heurts et des barricades enflammées pendant toute la nuit devant Polytechnique et l’ASOEE occupées, Omonoia, le square central d’Athènes et d’autres rues. Pendant ce temps, les anarchistes occupent l’université d’économie ASOEE. Un groupe attaque le commissariat de Neos Kosmos. Un groupe attaque les bureaux de Nouvelle Démocratie (parti au pouvoir) à Ano Petralona. Un groupe attaque les bureaux de Nouvelle Démocratie à Moschato. Le commissariat de Akropoleos est attaqué. La majeure partie de l’éclairage public de l’avenue Akadimias est détruit. Un groupe détruit une banque à Menidi. Les affrontements continuent à Exarchia.

Les deux ministres Pavlopoulos et Hinofotis donnent leur démission, mais le premier ministre les refuse. A Athènes, les organisations gauchistes appellent à une manifestation à Mouseum, dimanche à 13h00.

Les anarchistes appelèrent à de violentes manifestations dans toutes les villes vers minuit – une heure :

Thessalonique : Une manifestation anarchiste attaque le commissariat de police du square Aristotelous, détruisant des véhicules et des motos de la police. Sur le chemin de retour vers le square de Kamara, ils ont saccagé toutes les banques se trouvant sur leur passage, la façade d’un hôtel de luxe, un centre religieux « montagne d’Athos », le mégastore de fournitures scolaires « Malliaris », et de nombreux gros magasins de l’avenue Egnatias, ainsi que le commissariat de Ano Polis, et le poste de garde devant l’ambassade turque.
Affrontements avec les MAT autour de l’université et poubelles incendiées dans les rues avoisinantes. Plus tard, des groupes ont incendié tous les chantiers du Metro à l’intérieur de l’université, et des banques du centre ville. Assemblée ouverte à l’école polytechnique de Thessalonique pour informations et planification.

Heraklion : Quelques centaines de personnes se sont rassemblées dans le square central, et pendant la manifestation se sont attaquées au commissariat et au palais de justice. Les habitants se souviennent aussi du meurtre du jeune motard Iraklis Maragkakis à l’extérieur d’Heraklion, 5 ans auparavant, alors qu’il ne s’était pas arrêté lors d’un contrôle policier, les flics lui avaient tiré dans la tête, ce qui avait conduit à l’attaque du commissariat et à l’arrestation d’anarchistes le lendemain. La police ne s’est pas montrée. Plus tard dans la soirée des petits groupes ont incendié 4 banques.

Rethymnon : Manifestations de quelques dizaines de personnes.

Chania : Des centaines de personnes défilent vers le commissariat, et affrontent les MAT. Elles repartent en bloc, détruisant des banques et les bureaux des ferrys ANEK, érigeant dans les rues derrière elles des barricades de poubelles enflammées. Elles ont également saccagé des agences pour l’emploi, le mess des officiers, un bureau de politiciens, la poste centrale, les bureaux de la banque postale, et une pharmacie appartenant au maire de droite. Dans la nuit, un groupe s’attaque aux véhicules du maire et d’autres officiels devant la mairie.

Patras : Manifestation de quelques centaines de personnes vers le commissariat. Les manifestants détruisent les voitures de polices, les motos et les voitures banalisées. Les flics attaqués à l’aide de fusées éclairantes font un usage massif de lacrymogènes. De nombreuses personnes se lancent dans les affrontements, tandis que des banques et des agences de téléphone portable sont saccagées. Dans la nuit, un groupe a attaqué une cour où se trouvaient des véhicules de police dont certains banalisés, incendiant un bon nombre d’entre eux.

Komotini : Manifestation spontanée vers le commissariat de police par les gauchistes et les anti-autoritaires qui lancent des bombes colorantes rouges sur le bâtiment. Assemblée générale étudiante à l’université, qui ferme et occupe le bâtiment. Des anarchistes bloquent et squattent l’université.

Mytilini : Plus de 200 personnes défilent vers le commissariat, heurts avec les flics et saccage de véhicules et de motos de police banalisés.

Sparta : Manifestation anarchiste spontanée devant le commissariat, des gens peignent des slogans sur les murs de tous les bâtiments publics du centre ville, sur les banques et le palais de justice.

Alexandroupoli : Quatre anarchistes se rassemblent spontanément devant le commissariat et affrontent deux flics.

Serres : Manifestation anarchiste spontanée devant le commissariat, des gens peignent des slogans sur les murs.

Corfu : Rassemblement anarchiste dans les universités.

Ksanthi : Plus de 70 personnes se rassemblent spontanément à l’école polytechnique et défilent vers le commissariat. Sur leur route, elles croisent une voiture de police et cassent son pare-brise, les flics accélèrent en traversant le cortège, blessant une personne. Une banque ATM et des caméras sabotées.

Ioannina : Une manifestation anarchiste de 200 personnes attaque le commissariat et saccage les véhicules de police qui se trouvent devant. Les flics les repoussent avec un usage massif de lacrymogènes. Avant cela, les anarchistes ont croisé une jeep de la police des frontières, l’ont détruite et ont envoyé les deux flics qui s’y trouvaient à l’hôpital. En repartant, les manifestants ont brisé les vitrines de nombreuses banques.

Larissa : Manifestation dans le centre ville.

Naxos : Rassemblement autonome afin d’organiser des actions et de peindre des slogans sur toute l’ile, plus de 50 personnes y participent.

Kavala : Des groupes attaquent le commissariat, 6 banques et de nombreuses caméras de surveillance. Un policier est blessé durant les affrontements.

Volos : Manifestation anarchiste spontanée, où plus de 150 personnes se sont attaquées avec des pierres et des bâtons au commissariat, les flics ont répliqué avec des lacrymogènes, ce qui déboucha sur une bataille de rue. La manifestation s’est achevée en un bloc solide, détruisant une banque ATM.

Agrinio : Manifestation anarchiste spontanée de 60 personnes, défilant dans le centre ville, attaquant 4 banques à l’aide de pierres et de pavés. Les flics ne se sont pas montrés.

De plus petites manifestations spontanées dans de nombreuses villes grecques.

Suite de la brochure ici, sinon voici une autre brochure sur l’insurrection de décembre 2008: Jours de Rage

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