L’argument écologique mis en avant pour justifier le développement des énergies renouvelables serait-il de la poudre aux yeux?
En effet, le coût social, environnemental et financier laisse entrevoir l’arnaque verte.
Des expropriations forcées et des déclassements obscurs permettent aux colosses financiers de s’approprier des terres agricoles et des zones naturelles afin d’y implanter des infrastructures titanesques. Sans parler des chantiers dévastateurs qui les
précèdent. Résultat: des paysages industriels morts se substituent à la paysannerie et à la nature.
Il ne s’agit en aucun cas de remplacer les centrales d’énergie non renouvelable, mais de les épauler dans leur production et de l’accroître.
La Grèce est, depuis quelque temps maintenant, un pays à brader : prix bas sur place, population en détresse à qui on promet un revenu, des pressions déguisées en accords européens. Par exemple l’Entreprise Publique d’Électricité est obligée d’acheter au secteur privé l’électricité à des prix très haut. Une bonne affaire sous prétexte de relancer l’économie!
Et que va-t-il se passer avec les sources d’eau potables appropriées elles aussi avec les terres ?
Comme un air de conquête?